Les dates provisoires retenues sont les 9, 10 et 11 octobre prochains
La délégation était venue annoncer la tenue de la 9è édition du Festival international triangle du balafon aux forces vives de la Région de Sikasso. Mais aussi expliquer les enjeux et les attentes de ce rendez-vous à la population du Kénédougou. Les dates provisoires retenues pour la grande compétition des balafonnistes du Mali, Burkina Faso, de la Côte d’ivoire et d’ailleurs sont les 9, 10 et 11 octobre prochains.
La cérémonie était présidée par le directeur de cabinet du gouverneur de la région, Bernard Coulibaly. C’était en présence du président du Conseil régional, Yaya Bamba, de son collègue de la maire de la Commune urbaine de Sikasso, Oumar Goïta, et des représentants des forces vives de Sikasso.
«Notre motivation, c’est l’Année de la culture. C’est donc la vision du Président de la Transition, le Général d’armée Assimi Goït», a affirmé le conseiller technique du ministère en charge de la Culture, Abdoulaye Diombana. Les autorités, selon lui, ont décidé de faire revivre le festival triangle balafon à Sikasso. Il a invité la population du Kénédougou à être accueillante et à tout mettre œuvre pour la réussite de ce festival.
Pour sa part, le directeur national de l’action culturelle a précisé que Sikasso était considéré comme la capitale du balafon. Selon Alamouta Danioko, le balafon reste l’identité de la région. À cet effet, il a rappelé la construction du monument du balafon sur la route de Bobo dans la ville de Sikasso dans le passé.
Toute chose qui faisait de la région, la Capitale du balafon. À l’en croire, Sikasso est sous les projecteurs depuis l’annonce du festival. Faisant le point des préparatifs de ce rendez-vous culturel, Alamouta Danioko dira que les termes de référence ont été élaborés. Et son département est à pied œuvre pour bien mener le reste des préparatifs.
De son côté, le président du Conseil régional, Yaya Bamba, a indiqué que la population de Sikasso avait la nostalgie du Festival international triangle du balafon. Et de rappeler que la dernière célébration de ce festival remonte à 2017. «C’est un honneur pour la région de reprendre le festival. On fera de notre mieux pour que l’évènement soit à la hauteur des souhaits», a confié Yaya Bamba. Et d’inviter toute la population ainsi que tous les balafonnistes à s’impliquer davantage pour la réussite de l’activité.
«Nous préparons cet évènement avec beaucoup de patriotisme et de fierté. Sikasso est plein dans les activités de l’Année de la culture. Le Festival international triangle du balafon viendra renforcer», a souligné le directeur de cabinet du gouverneur, Bernard Coulibaly. Il a aussi saisi l’occasion pour saluer l’initiative présidentielle. À l’issue des échanges, les préoccupations des participants ont porté sur les critères de sélection des pays participants, la construction du balafon, le dispositif sécuritaire, etc.
Mariam DIABATE / AMAP - Sikasso
Dix «Linguère»ont été distinguées pour leur engagement. Parmi elles, le maire de la Commune III, Mme Djiré Mariam Diallo et Aïcha Baba Keïta de l’ORTM.
La star sénégalaise, l'artiste musicienne Coumba Gawlo Seck a animé, jeudi dernier au Centre international de conférences de Bamako (CICB), une conférence pour le lancement de la 2è édition du Festival international Chant des Linguère, tenue du 10 au 12 décembre dans la capitale malienne .
Les préparatifs de la troupe régionale de Mopti pour la phase nationale de la Biennale artistique et culturelle Tombouctou 2025 vont bon train, a pu le constater, lundi dernier, le gouverneur de la Région, le Général de brigade Daouda Dembélé lors d’une visite à la troupe..
-.
La phase II de la formation «Incubateur des talents ITM Maliden Kura» a pris fin, jeudi dernier dans un hôtel de la place. La cérémonie de clôture était présidée par le ministre de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme, Mamou Daffé, en présence des for.
Les deux panelistes ont indiqué que l’artisanat et l’entrepreneuriat, deux secteurs complémentaires, sont des moteurs essentiels de la transformation économique au Sahel.