Ces militaires sont accusés, entre autres, d’évasion et de désertion, de vol, de coups et blessures, de violations des consignes générales militaires. Mais aussi de vol d’armes et de munitions de guerre ainsi que de menaces et d’intimidation.
En plus du président, l’ouverture de cette session a enregistré la présence du procureur de la République près le Tribunal militaire de Bamako, le magistrat colonel Soumaïla Bagayoko.
La tenue de ces audiences ordinaires du Tribunal militaire de Bamako traduit la volonté des autorités de la Transition de doter notre Armée d’une justice adaptée aux réalités et à la spécificité de la fonction militaire pour lutter efficacement contre l’impunité en son sein. Les activités de ce tribunal contribuent aussi à renforcer la confiance entre la population et son Armée.
Lors de l’ouverture des travaux, le procureur a fait savoir qu’il existe trois tribunaux militaires au Mali à savoir ceux de Bamako, de Kayes et de Mopti. Selon le magistrat colonel Soumaïla Bagayoko, ces tribunaux militaires sont compétents, en temps de paix comme en temps de guerre, pour instruire et juger les infractions de droit commun commises par les militaires dans le service, les casernes, les quartiers, les dépôts ou tout autre établissement militaire.
Le procureur Bagayoko a souligné que chacun de ces tribunaux est composé de 5 magistrats dont un conseiller à la Cour d’appel qui préside les débats et 4 juges militaires assistés d’un greffier. Aussi, il a indiqué que le tribunal militaire a deux volets à savoir le volet criminel qui est consacré au jugement des affaires criminelles et le volet correctionnel.
Souleymane SIDIBE
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