Photo de famille des participants à la formation
L’activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités du Projet «gestion communautaire des ressources naturelles qui résout les conflits, améliore les moyens de subsistance et restaure les écosystèmes dans l’ensemble de l’aire de répartition des éléphants». Ce projet vise non seulement à protéger les éléphants au Nord-est du Mali et les sites clés, mais aussi à améliorer les moyens de subsistance des communautés locales qui vivent le long de la voie de migration et à réduire les conflits entre les hommes et les pachydermes.
Les travaux ont été lancés par le représentant du ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable, le colonel-major Amadou Diallo. C’était en présence du directeur général adjoint des eaux et forêts, le colonel-major Abdoulaye Tamboura et du représentant du Programme des Nation unies pour le développement (Pnud), Dr Hammadoun Dia. Le gouvernement du Mali a clairement identifié les éléphants comme étant un patrimoine national important. D’où la nécessité de renforcer les capacités des structures techniques en matière de protection de la biodiversité et d’adopter une meilleure stratégie de protection et de conservation de cette espèce emblématique.
Ainsi, est-il attendu de ce projet l’augmentation de la population d’éléphants du Gourma, la restauration de la superficie des forêts et des terres boisées dans la zone du projet, la réduction significative du braconnage et le niveau Zéro abattage d’éléphants en représailles. Autres attente est la diminution du taux de déforestation. «La mise en œuvre du projet repose sur la fourniture de produits dont les itinéraires de résultats conduisent aux objectifs, avec des hypothèses et des indicateurs axés sur les résultats», a président le colonel-major Amadou Diallo. Le directeur général adjoint a souligné que l’érection de la réserve partielle des éléphants du Gourma (créée en 1959) en réserve de biosphère du Gourma par la loi n° 2021-066/ du 1 4 décembre 2021, participe de la volonté manifeste et affichée des autorités d’accorder une importance capitale à la protection de cette population d’éléphants.
Cet engagement s’est matérialisé par la prise de mesures législatives et règlementaires, ainsi que l’acquisition de moyens matériels et des équipements de surveillance aérienne dans le cadre de la lutte anti braconnage pour assurer le plein épanouissement des éléphants dans leur aire de répartition naturelle. Le représentant du ministre en charge de l’Environnement n’a pas manqué de remercier le Pnud et le Fonds pour l’environnement mondial (Fem) qui ont bien voulu accompagner le Mali dans ce processus.
Prenant la parole, le représentant du Pnud, Dr Hammadoun Dia, a expliqué les travaux de l’atelier couvriront diverses thématiques comme l’identification des différents types de drones et leurs équipements, la connaissance de la nomenclature des drones, la connaissance et la maîtrise des techniques de pilotage des drones. Il a également été question des techniques de surveillance et de contrôle des zones par utilisation des drones, la réglementation en vigueur en matière d’utilisation des drones. L’agent du Pnud a, ensuite, réaffirmé l’engagement de son Programme à travailler avec tous les acteurs concernés pour le succès de ce projet.
Le directeur général adjoint des eaux et forêts s’est réjoui du renforcement de la capacité de ces agents au pilotage des drones, devenus des instruments incontournables au regard de l’insécurité persistante. Le colonel-major Abdoulaye Tamboura a fait remarquer que la situation est reluisante ces dernières années, «car à part les morts naturelles, on n’enregistre pas des cas de braconnage». Selon les derniers inventaires, il y a au moins 316 pachydermes. Cette formation aidera les agents à mieux gérer l’effectif. Par ailleurs, la direction des eaux et forêts initie des actions permettant aux populations locales de mener des activités génératrices de revenus. L’objectif est de leur assurer d’autres revenus, en lieu et place de ceux qu’elles tirent du braconnage.
De son vrai nom Abdrahmane Ben Esaayouti, le grand imam a tiré sa révérence ce mercredi 10 decembre 2025. Il a été accompagné à sa dernière demeure par une foule nombreuse de fidèles, d'amis et de parents..
Les autorités de la Transition ont décidé de combler au niveau de la Fonction publique d'État les insuffisances en termes de personnel de l'administration relevant du Code du travail..
Pour Abdoul Niang, il est évident pour tout le monde que ces deux médias publics ont marqué leur époque. L’ORTM est la principale source d’information audiovisuelle au Mali depuis plusieurs décennies. Quant à l’Essor, en tant que journal d’État, il est la référence écrite officiell.
Le VIH/Sida représente un réel problème de santé publique à l’échelle planétaire.
-.
Dans le cadre de l’opérationnalisation effective de l’Université publique de Gao, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bouréma Kansaye a entamé, le week-end dernier, une visite dans la Cité des Askia qu’il bouclera aujourd’hui. Il est accompagnÃ.