La confirmation de la mort de l’artiste a été donnée sur le site officiel du ministère de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie hôtelière et du Tourisme qui a présenté à sa famille les condoléances des plus hautes autorités du pays.
«Le ministre s’incline devant la mémoire de cette artiste de renommée nationale et internationale et ambassadrice de la musique malienne, il présente au nom du Premier ministre par intérim et de l’ensemble des membres du gouvernement, les condoléances les plus attristées à sa famille éplorée, à la grande communauté des griots, aux artistes du Mali et de l’ensemble du Mandé», précise le communique du département en charge de la Culture.
Mah Kouayaté N° 2 était l’une des musiciennes traditionnelles les plus suivies de la scène nationale à travers sa voix électrique et sublime. Issue d’une grande famille des griots, elle a vite fait son chemin dès son jeune âge en se faisant remarquer lors des évènements sociaux.
Ce qui lui a permis d’entrer par la grande porte dans le monde musical et d’avoir une riche carrière. Ses fans garderont longtemps à l’esprit cette belle voix qui traversera les âges à travers l’immense bibliographie de l’artiste.
Selon les informations disponibles sur sa page officielle, l’artsite d’origine guinéenne a à son actrif une vingtaine de productions dont le premier opus : «Diarabi» a été produit en 1996. Cet album lui a valu une grande notoriété, mais aussi des opportunités à travers un carnet d’adresses à l’échelle internationale bien fourni.
On peut aussi retenir d’autres albums d’elle, notamment «Sumu», «CAN 2002», «Musolu», «Badenya», «Fimani veste» « Fimani guitare», «Tariba», «Nan Koumandjan» et «Masselala en 2006», entre autres. Les obsèques auront aujourd’hui à Banankabougou, dans la grande famille Kouyaté, derrière la mairie de ce quartier à partir de 16 heures.
Amadou SOW
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