De gauche à droite : Mohamed Diawara, le DG de l’Amap, Alassane Souleymane, Mohamed Traoré et le Dirpub en français, Souleymane Bobo Tounkara
Cette distinction vient saluer leur engagement remarquable en faveur de la promotion des droits des femmes au Mali.
À cette occasion, les deux récipiendaires ont été reçus par le directeur général de l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap), Alassane Souleymane, en présence du directeur des publications en français, Souleymane Bobo Tounkara.
Le directeur général de l’Amap n’a pas caché sa fierté. Pour Alassane Souleymane, cette reconnaissance dépasse les personnes distinguées. «C’est toute l’Amap, le département de tutelle, le secteur tout entier, et même le pays», a-t-il déclaré. Le travail accompli par les récipiendaires, a-t-il estimé, est le fruit d’un effort collectif, pensé et mené avec l’ensemble de la rédaction.
Au nom du comité de direction, il a adressé ses vives félicitations aux deux journalistes et les a encouragés à poursuivre dans cette voie. «Ce n’est qu’une étape, le meilleur reste à venir. Ce que vous avez fait va inspirer d’autres collègues, mais aussi d’autres structures médiatiques», a-t-il précisé. Et de rappeler la mission fondamentale du service. «Notre mission, c’est d’informer, d’accompagner l’action publique, et de faire entendre notre voix. Chacun, à son niveau, doit être un ambassadeur», a-t-il confié. Et d’espérer que : «Il y a eu des prix avant, il y en a aujourd’hui, et nous espérons qu’il y en aura d’autres demain. C’est cela qui nous motive.»
Récompensé pour son engagement en faveur de la promotion des droits des femmes, Mohamed Traoré s’est dit honoré du choix porté sur sa personne, soulignant qu’au-delà , c’est toute la maison Amap qui est honorée. Celui qui a la plume alerte dans la rubrique des «chiens écrasés», selon l’expression consacrée dans le journalisme, a exprimé sa fierté d’avoir été choisi parmi tant d’autres, tout en reconnaissant que de nombreux confrères s’investissent également dans cette lutte. Il y voit une motivation supplémentaire à aller de l’avant, a lancé un appel à l’unité à l’endroit des femmes maliennes.
Il invite les femmes à rester soudées et les autorités à les mettre au cœur des préoccupations de développement de la nation. Décidément c’était une affaire de Mohamed. La distinction de Mohamed Diawara est aussi une juste récompense. Ce jeune journaliste qui porte en lui la détestation de l’injustice à l’égard de la gent féminine est un maillon essentiel de la page femmes à L’Essor. Chez lui, l’écriture sur les femmes et leurs préoccupations, c’est comme «un torrent intérieur, un flot qui jaillit», tellement il est à l’aise dans ce combat.
Amadou GUEGUERE
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