Elle leur a permis de mettre la main sur neuf (09) suspects et leurs butins composés de sept (07) engins à deux roues, un nombre important de téléphones portables ainsi que de nombreux autres objets de valeur.
Les malfrats dont il est question sont âgés de 19 à 35 ans. Il s’agit des nommés Y.B (33 ans), S.C (27 ans), A.T (32 ans), Y.T (35 ans), S.C (22 ans), L.C (35 ans), O.B (19 ans), A.D (28 ans) et d’A.AM.Y (26 ans). C’est d’ailleurs à la suite de l’interpellation de ce dernier que les autres éléments de cette bande sont tombés dans les mailles des filets de la police.
Sans donner beaucoup plus de détails sur les circonstances dans lesquelles les neuf bandits ont été alpagués, nos sources expliquent qu’ils s’étaient associés pour former une entreprise criminelle évoluant dans le cambriolage et le braquage à main armée dans la ville de Sikasso et ses environs.
Pendant une longue période, les «neuf» qui reculaient difficilement face à un obstacle, terrorisaient les populations des secteurs où ils sévissaient dans la capitale du Kénédougou. Nos sources expliquent que ces individus se donnaient peu, (voire pas) de limite dans la commission des actes criminels partout où ils passaient. Cette situation s’expliquait par le fait qu’ils engrangeaient des succès quasiment dans toutes les opérations qu’ils menaient à travers la Cité du Tata.
Nos sources expliquent que l’interpellation des malfrats est consécutive à la plainte d’un commerçant dont la boutique venait d’être cambriolée quelques jours auparavant. Après avoir recoupé les informations, les soupçons des policiers portèrent sur A. AM.Y. Celui-ci fut mis aux arrêts alors qu’en parallèle les policiers perquisitionnaient chez lui.
Cela leur a permis de retrouver une partie des marchandises volées chez le commerçant victime. Conduit dans les locaux des policiers et auditionné, le suspect s’avérera être un véritable bandit de grand chemin qui, non seulement vivait pratiquement de braquages à main armée. Mais il était également membre d’une bande.
Cela se confirmera suite à l’interpellation, le lendemain de S.C (22 ans) pour détention et consommation de stupéfiants par une patrouille de la Brigade de recherches. En professionnels, les limiers se savaient déjà sur les traces d’un groupe de bandits qui perturbait la tranquillité des citoyens dans la cité.
Les éléments de la brigade de recherches (BR) entrèrent dans la danse. Ils activèrent leur cellule de renseignements qui tissa sa toile tout autour du secteur où les bandits étaient très actifs.
Cette stratégie s’avérera payante. Elle a permis aux limiers de mettre la main sur les sept (07) autres individus qui composaient la bande. Les policiers disposaient de preuves irréfutables contre ces bandits pour envoyer leurs dossiers chez les juges du Tribunal de Sikasso où doivent comparaitre pour « association de malfaiteurs et braquage à main armée ».
Tamba CAMARA
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