Ils viennent du Mali, de la Côte-d’Ivoire, de la Guinée, de Madagascar, de la République démocratique du Congo et de la Mauritanie
Le 40è stage des communicateurs africains francophones se poursuit au Caire en Égypte. Le lundi dernier, les participants venus de six pays (Mali, Côte-d’Ivoire, Guinée, Madagascar, République démocratique du Congo et Mauritanie), ont été édifiés sur la coproduction des programmes internationaux. Le panel a été animé par Mme Dina Abdelmagid, directrice de la Radio le Caire.
D’après la conférencière, la coproduction des programmes internationaux est le fait que plusieurs radios ou télévisions ou encore des journaux de différents pays décident de collaborer en se fournissant des informations sur des thématiques communes. «La coproduction est importante pour l’unité des pays et les rapproche les uns aux autres», a expliqué Mme Dina Abdelmagid. Elle ajoutera qu’il faut toujours trouver un thème qui intéresse tous les pays membres.
Toutefois, la conférencière a indiqué que la coproduction exige le respect de tous les pays, leurs traditions et leurs cultures. «Il ne faut pas attaquer un pays avec son sujet», a souligné Mme Dina Abdelmagid. Elle précisera que dans la coproduction, les États sont égaux. «Il n’y a pas de chef», a-t-elle insisté. Et de poursuivre que c’est uniquement la production exécutive qui est confiée à quelqu’un ou à une radio.
Le mardi dernier, les participants ont également eu droit à un panel sur l’importance de l’Intelligence artificielle (IA) dans le métier des journalistes. Selon la conférencière Mme Iman Elwarraky, l’idée de l’IA a vu le jour depuis 1950. «On utilise l’IA pour économiser le temps et l’effort», a-t-elle expliqué. Mme Iman Elwarraky a conseillé de ne pas traiter avec l’IA de manière aléatoire. Il faut le faire de manière professionnelle pour que ça réponde à votre attente», a-t-elle ajouté.
Rappelant que l’utilisation de l’IA dans les médias est réglementée en Égypte, la conférencière dira que cette technologie a été conçue pour simuler la réalité et non de la produire. «Posez des questions à l’IA de façon adéquate et précise afin qu’elle donne des informations méticuleuses», a conseillé Mme Iman Elwarraky. D´après elle, cette technologie doit assister les journalistes et non se substituer à eux. Elle conseille aussi aux journalistes de ne pas utiliser l’IA pour rédiger leurs articles.
Envoyé spécial
Bembablin DOUMBIA
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