
Ce débrayage, qui s'achèvera le 19 avril, est reconductible à 120 heures à compter du 22 avril au 26 du même mois. Ces informations ont été données, il y a quelques jours, à travers une lettre de préavis de grève du Synabef adressée au directeur national du Travail signée de son secrétaire général, Hamadoun Bah.
Comme doléances, le Synabef réclame, notamment la relaxe immédiate et l'abandon des poursuites à l'encontre de ses camarades Birom Diop et Alassane Touré d’Ecobank Mali pour avoir agi conformément aux procédures et à la réglementation bancaire.
En effet, ces deux cadres d’Ecobank sont incarcérés depuis quelques semaines pour leur implication présumée dans une affaire de malversations financière liée à la Société Énergie du Mali ( EDM-SA).
" Faute d'avoir satisfaction entière aux doléances, le Synabef observera une grève de 72 heures reconductibles à 120 heures sur toute l'étendue du territoire national" peut-on lire dans la lettre.
Bembablin DOUMBIA
Niankoro Yeah Samaké est élu président du Parti pour l’action civique et patriotique (PACP) pour un mandat de cinq ans. C’est la principale décision du 2è congrès ordinaire du parti, tenu les samedi et dimanche derniers au Centre international de conférences de Bamako (CICB)..
«Me Mountaga Tall, le Phoenix : Itinéraire d’un homme en avance sur son temps», tel est le titre du livre que le directeur des Éditions bonne lecture (EBL), Mamadou Macalou a écrit sur l’avocat et homme politique malien, Me Mountaga Tall, par ailleurs président du Congrès national d’ini.
Le mot d'ordre de grève du Syndicat national des banques, assurances, établissements financiers, microfinances et commerces du Mali (Synabef) a été suspendu, ce vendredi 18 avril 2025..
Les participants à l’atelier de la capitale proposent la création seulement de cinq partis repartis en deux blocs : les partis au pouvoir et ceux de l’opposition. Et exigent le paiement d’une caution supérieure ou égale à 180 millions de Fcfa pour la création d’un parti politique.
La phase régionale des consultations des forces vives de la capitale dans le cadre de la relecture de la Charte des partis politiques a bien démarré hier au gouvernorat du District de Bamako..
La crainte de voir une duplication de ce qui s’est passé au Niger et au Burkina Faso, hante les esprits du regroupement.