Le ministre de l’Économie et des Finances, Alousséni Sanou et le directeur général du FGSP, Moustapha Adrien Sarr
Cette convention vient conforter la dynamique impulsée par le gouvernement en soutien au secteur privé afin de l’aider à faire face aux effets pervers de la pandémie de Covid-19. Faut-il rappeler que suite à cette crise sanitaire, 20 milliards de Fcfa ont été affectés au FGSP-Sa par l’État pour une durée de 2 ans, dans le but de soutenir, par l’accès au financement, les entreprises impactées. Selon une note d’information du FGSP-Sa déposée à notre rédaction, «l’impact de cette dotation a été jugé suffisamment satisfaisant». En témoignent les résultats opérationnels obtenus : 161 milliards de Fcfa de garanties émises en face d’un objectif initial de 100 milliards de Fcfa, 471 milliards de Fcfa de financements mobilisés contre un objectif de départ de 125 milliards de Fcfa. S’y ajoutent 10.050 entreprises accompagnées contre un objectif initial de 2.000 et enfin 60.298 emplois sauvegardés contre un objectif initial de 12.000.
À travers la convention signée, l’État renouvelle sa confiance au Fonds de garantie pour le secteur privé. L’institution remercie les autorités pour la confiance ainsi placée en elle et «s’engage à mettre en œuvre cette initiative qui s’inscrit en droite ligne de la vision stratégique du président de la Transition, le colonel Assimi Goïta». Par conséquent, le FGSP-Sa invite toutes les parties prenantes (entreprises, institutions de crédit et partenaires au développement) à œuvrer pour «l’émergence d’une synergie propre à la concrétisation des objectifs de ce programme».
Le FGSP-Sa a été créé en 2014 à l’initiative de l’État malien, en collaboration avec le secteur privé, conformément à la loi d’orientation de ce secteur.
Il a essentiellement pour objectifs de faciliter l’accès du secteur privé au financement, de contribuer à son développement mais aussi à la création d’emplois et de valeur ajoutée grâce à des mécanismes incitatifs de partage de risque.
Anta CISSÉ
Le Lycée «Askia Mohamed» (LAM) de Bamako est l’un des plus anciens établissements d’enseignement secondaire de notre pays. Cet établissement d’enseignement secondaire qui existe depuis plus d’un siècle a été visité, hier, par le ministre de l’Éducation nationale, Dr Amadou Sy Sav.
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À la date du lundi 8 décembre, au Grand marché de Bamako, le sac de 100 kg de mil est vendu à 20.000 Fcfa contre 22.500 Fcfa avant. Le sac de 100 kg de riz Gamiyaka, cédé auparavant à 45.000 Fcfa, se négocie désormais autour de 40.000 Fcfa.