La cérémonie d’ouverture était présidée
par Diadié dit Amadou Sangaré, président de la Fenem. C’était en présence du président
du Conseil national du patronat du Mali (CNPM) Mossadeck Bally, des
responsables de l’Africa Enterprise Challenge Fund (AECF) et de la Coopération
suédoise.
Cette rencontre préparatoire vise à initier un cadre d’échanges
et de réflexion qui permettra aux participants de s’imprégner de la démarche déclenchée
par la fédération et ses partenaires dans le cadre du développement du secteur
de l’énergie au Mali. Elle permettra à la Fenem de recueillir des contributions
pertinentes pour aboutir à des résultats probants.
Autre objectif : réunir
les acteurs afin de se mettre d’accord sur une position du secteur privé sur
l’accès au financement et le rôle central de l’énergie comme catalyseur du développement. «Ce forum permet à la Fenem de partager sa position sur les
enjeux et les défis au financement des activités du secteur privé de l’énergie.
Et aussi sur le rôle de l’énergie pour le développement des autres secteurs clés»,
a expliqué Diadié dit Amadou Sangaré.
Selon Mossadeck Bally, l’énergie est au centre de presque
tous les défis majeurs des perspectives prometteuses qui se présentent au monde
aujourd’hui. Qu’il s’agisse d’emplois, de la sécurité, de changement
climatique, de production de nourriture ou d’accroissement des revenus, l’accès
à l’énergie demeure essentiel. « La rencontre de ce jour devra nous permettre
d’échanger sur la problématique des questions énergétiques mais aussi de
trouver les réponses adéquates pour stimuler les investissements.
J’ai grand
espoir que les conclusions de nos travaux aboutiront à des engagements qui
permettront d’accélérer efficacement le développement des énergies
renouvelables au Mali», a déclaré le président du CNPM. Mossadeck Bally
ajoutera que notre pays dispose d’un grand potentiel inexploité pour développer
les énergies renouvelables (hydraulique, solaire et éolienne).
« Le pays pourrait devenir un grand producteur d’énergie solaire, car il bénéficie de 7 à 10 heures d’ensoleillement par jour toute l’année, avec une irradiation moyenne de 5 à 7 kwh/m²/jour contre une moyenne mondiale estimée de 4 à 5 kwh/m²/jour)», a-t-il soutenu.
Babba COULIBALY
Le budget prévisionnel 2026 du Programme de développement intégré des ressources animales et aquacoles au Mali (Pdiraam-phase 2) est estimé à environ 5,64 milliards de Fcfa..
La journée du vendredi 12 décembre 2025 marque la fin des opération de traque, de saisie et de destruction des engins artisanaux servant à la recherche de l’or dans les cours d'eau et sur leurs rives bordant les forêts, dans la Région de Bougouni. Plus d’une centaine de dragues et de machi.
Pour la 90è session du Conseil d’administration de la Banque de développement du Mali (BDM-SA), tenue samedi dernier dans ses locaux, les administrateurs ont examiné en premier lieu le budget d’investissement et d’exploitation qui permet à l’institution d’assurer la continuité de ses .
En marge de leur rencontre, les ministres de l’Économie et des Finances de la Confédération des États du Sahel (AES) venus à Bamako pour les travaux de l'assemblée consultative de la Banque confédérale d'investissement et de développement (Bcid-AES) ont été reçus, hier dans l’après-.
À la date du lundi 8 décembre, au Grand marché de Bamako, le sac de 100 kg de mil est vendu à 20.000 Fcfa contre 22.500 Fcfa avant. Le sac de 100 kg de riz Gamiyaka, cédé auparavant à 45.000 Fcfa, se négocie désormais autour de 40.000 Fcfa.
Le gouverneur de la Région de Kita, Daouda Maïga, a présidé en début de semaine une session de vulgarisation de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption et de son plan d’actions 2023-2027..