Le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres, a publié, mercredi 9 novembre, à l’occasion de la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Pour rappel, en décembre 2013, lors de sa 68e session, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution intitulée « La sécurité des journalistes et la question de l’impunité », qui a proclamé la date du 2 novembre la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes.
Cette résolution exhorte les États membres à prendre des mesures précises pour combattre la culture actuelle d’impunité. D’après le patron de l’Onu, une presse libre est indispensable à la vie des démocraties : elle dévoile les méfaits, aide à comprendre la complexité du monde et contribue à la réalisation des Objectifs de développement durable. Et ’explosion de la désinformation, du harcèlement en ligne et des discours de haine, en particulier envers les femmes journalistes, entrave le travail des médias partout dans le monde. « L’intimidation par l’argent ou le droit complique la tâche de celles et ceux qui cherchent à faire rendre compte aux puissants.
Cette évolution représente une menace non seulement pour les journalistes, mais aussi pour la société en général », a-t-il signalé. Le Plan d’action des Nations unies sur la sécurité des journalistes a pour but de permettre aux professionnels des médias de faire leur métier librement et en toute sécurité. « À l’occasion du dixième anniversaire du Plan, j’invite les États et la communauté internationale à prendre les mesures nécessaires pour protéger les journalistes.
Nous devons mettre fin à cette culture de l’impunité présente partout et laisser les journalistes faire le travail essentiel qui est le leur », a exhorté le secrétaire général de l’Onu. La date de cette journée internationale a été choisie en mémoire de deux journalistes français, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, assassinés le 2 novembre 2013 à Kidal. Cette résolution historique condamne toutes les attaques et violences perpétrées contre des journalistes et des travailleurs des médias.
Souleymane SIDIBE
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