À titre de rappel, il y avait 20.856 candidats inscrits pour le
Cap, mais ils étaient 17.738 candidats à se présenter. 7.970 d’entre eux ont été
déclarés définitivement admis, soit un taux national d’admission de 44,93%
contre 41,02% l’année dernière. Le pole de correction de Kati a obtenu le taux
national de réussite le plus élevé au Cap avec 49,52%.
Pour les BT1 et BT 2, 37.930 candidats étaient inscrits.
Seulement 30.949 d’entre eux ont composé. Ils sont 12.479 déclarés admis, soit
un taux national de réussite de 72,21%. Ce taux est en deçà de celui de 2021
qui était de 77,68%. Avec 45,37%, le pole de correction de San a eu le taux
national le plus élevé au BT 1, tandis que le pole de correction de Kati a
obtenu le taux national de réussite le plus élevé au BT 2 avec 81,87%.
Au passage de notre équipe à l’école centrale de commerce,
de l’industrie et d’administration (ECICA) où les résultats des BT1 et 2 étaient
affichés, des candidats se bousculaient devant le tableau d’affichage pour
retrouver leurs noms sur la liste. Les admis laissaient éclater leur joie.
Ceux qui étaient recalés avaient du mal à contenir leurs larmes. Malheureusement, ils étaient plus nombreux. Certains candidats recalés ont expliqué être à leur 3è tentative à vouloir décrocher soit le Cap, soit le Brevet de technicien. Ils estiment avoir épuisé leur dernière cartouche.
Mlle Hawa Koné fait partie des admis au BT 1. «Ma réussite
ne m’a pas surprise, car je suis première de ma classe. J’ai sérieusement préparé
l’examen, d’abord seule puis en groupe avec des camarades de classe»,
a-telle confié.
Tout comme les résultats du Diplôme d’études fondamentales (DEF), du Baccalauréat (Bac), le directeur du Centre national des examens et concours de l’éducation (CNECE) Mahamadou Keïta soutient que ceux du Cap et des BT1 et 2 reflètent très bien le niveau des élèves. Pour lui, l’année scolaire 2021-2022 a été normale parce que les programmes d’apprentissage scolaire ont été bien exécutés dans les établissements d’enseignement technique et professionnel.
Sidi WAGUE
De son vrai nom Abdrahmane Ben Esaayouti, le grand imam a tiré sa révérence ce mercredi 10 decembre 2025. Il a été accompagné à sa dernière demeure par une foule nombreuse de fidèles, d'amis et de parents..
Les autorités de la Transition ont décidé de combler au niveau de la Fonction publique d'État les insuffisances en termes de personnel de l'administration relevant du Code du travail..
Pour Abdoul Niang, il est évident pour tout le monde que ces deux médias publics ont marqué leur époque. L’ORTM est la principale source d’information audiovisuelle au Mali depuis plusieurs décennies. Quant à l’Essor, en tant que journal d’État, il est la référence écrite officiell.
Le VIH/Sida représente un réel problème de santé publique à l’échelle planétaire.
-.
Dans le cadre de l’opérationnalisation effective de l’Université publique de Gao, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Bouréma Kansaye a entamé, le week-end dernier, une visite dans la Cité des Askia qu’il bouclera aujourd’hui. Il est accompagnÃ.