Lors du segment ministériel, qui s’est ouvert ce lundi 17 novembre, la ministre chargée de l’Environnement s’est adressée à ses pairs du haut de la tribune de la COP30. Prenant la parole, elle a transmis au peuple frère et ami du Brésil les salutations fraternelles du Peuple du Mali et de son gouvernement, sous le leadership éclairé du Président de la Transition, Chef de l’État, le Général d’armée Assimi Goïta, Président en exercice de la Confédération des États du Sahel, résolument engagé dans la lutte contre les changements climatiques.
Dans son intervention, la ministre a rappelé les conséquences du dérèglement climatique, qui frappent notre pays dont : les sécheresses, les inondations, les vents violents, les fortes variations de température, entre autres. Pour Doumbia Mariam Tangara, comme solution, le nexus climat-paix-sécurité, reconnu comme l’un des principaux défis du Sahel, constitue, désormais une alternative crédible.
Autres solutions préconisées par la ministre chargée de l’Environnement, la vison 2063 accompagnée d’une Stratégie nationale pour l’émergence et le développement durable (2024-20233) assortie d’un Plan d’actions pour renforcer l’amélioration du cadre de vie des populations. Parmi les actions réalisées ou en cours de réalisation : la construction de 4 centrales solaires photovoltaïques, la réalisation de centaines de kilomètres de lignes de transport et de distribution d’électricité.
La ministre a, également, mis un accent sur les œuvres sociales du Président de la Transition, qui ont permis la réalisation de 542 forages au bénéfice des populations vulnérables. Pour Doumbia Mariam Tangara, il convient de signaler que le Mali, à l’instar de bien d’autres États africains, regrette que les promesses répétées des COP de Paris en 20215 et de Baku en 2024, peinent encore à se concrétiser. Et de souligner que les engagements sur le financement de l’adaptation, les pertes et dommages, ou encore le transfert de technologies doivent, enfin, devenir réalité.Face à l’urgence climatique, la complexité de la tâche consiste à renforcer la gouvernance climatique. À cet effet, il est nécessaire d’harmoniser et de simplifier les procédures d’accès aux financements, notamment de faciliter l’accès aux fonds destinés à l’action climatique.
Source : MEADD
Rédaction Lessor
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