
Les voies d'accès sont très souvent défoncées et obligent les usagers à faire une gymnastique
Du commissariat de police au rond-point «Bougie Ba», de la Place Can à la Bibliothèque nationale, en passant par l’hôtel Radisson Blu…, le constat est amer. Arrêté au bord du goudron, on entend souvent des bruits assourdissants des véhicules presque enfoncés dans des trous. Sous l’anonymat, un mécanicien d’automobile installé non loin du siège de l’Oclei nous confie qu’il n’a jamais vu cette voie totalement réparée.
Il exercice dans la zone depuis maintenant 7 ans. «Quant il pleut, ça devient impraticable pour les usagers. Les eaux de pluie empirent davantage la situation », témoigne le mécanicien qui assiste tous les jours à des scènes d’accident provoqués par l’état de la route. «Les gens se cognent par derrière. Pendant la nuit, les trous font tomber plusieurs motocyclistes. On entend souvent des bruits», révèle-t-il.
De l’avis de Mohamed Lamine Keita, conducteur, l’état de dégradation des goudrons est un problème qui interpelle tout le monde. Cette situation est source d’accidents à longueur de journée. En essayant de dévier un trou, si cela trouve que quelqu’un te suit en vitesse, la personne te heurtera, dit Mr Keita.
Assis dans sa voiture garée au bord de « Bougie Ba», il déplore les conséquences de cette situation sur les engins. « Quand on se plonge dans le trou sans le savoir, c’est fort possible que la rotule de direction lâche », dit notre interlocuteur. Mohamed Lamine Keita fait remarquer qu’au-delà de l’ACI, beaucoup de nos goudrons sont dans l’état de dégradation avancée.
N'Famoro KEITA
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