Ses responsables l’ont fait savoir lors des travaux de la 3è session ordinaire
de son conseil d’administration, tenu hier dans sa salle de réunion. Le secrétaire
général du ministère de l’Économie et des Finances, Abdoulaye Traoré a ouvert
la session.
Étaient inscrits, à son
ordre, l’examen du compte rendu de la 2è session ordinaire, l’état de mise en œuvre
des recommandations de cette session, du rapport d’activités 2021. Les
administrateurs ont également analysé le programme d’activités et
le projet de budget 2022, avant d’apprécier le contrat annuel de
performance de la structure.
Malgré le contexte socioéconomique
difficile du pays, le Cercap a exécuté 65% de son programme d’activités 2021, a
salué le secrétaire général du ministère de l’Économie et des Finances. Abdoulaye Traoré a noté qu’il a élaboré un répertoire
des politiques publiques au Mali et analysé la cohérence de ces dernières.
Cette session se tient dans
un contexte où le Centre aspire recouvrer la plénitude de ses missions. Il
devra désormais, selon ses responsables, contribuer à améliorer le processus décisionnel
et l’efficacité des politiques publiques en mettant à la disposition des
acteurs étatiques et non étatiques des résultats d’études et de recherche
rigoureusement menés sur des thématiques pertinentes pour le développement
durable.
Cela conformément à sa mission qui est de mettre en évidence des faits
à venir à travers des méthodes scientifiques et rigoureuses afin d’aider les
différents acteurs de développement à prendre leur décision, a déclaré son
directeur général, Dr François Koné.
Pour y arriver, a estimé le
numéro 2 de l’hôtel des Finances, il importe de relever certains défis
notamment «la faible culture du recours aux résultats d’études et de recherche
dans les débats et décisions concernant la vie publique, l’insuffisance des
ressources humaines et financières. Il appartient à la direction générale du
Cercap de prendre des initiatives que le conseil d’administration soutiendra, a
assuré Abdoulaye Traoré.
Car «pour permettre au Cercap de jouer pleinement son rôle de bonne réussite des politiques publiques, nous devons contribuer à lui donner un capital crédit en lui confiant des besoins d’études, de recherche et de renforcement des capacités des structures respectives », a-t-il plaidé. Estimant que c’est ainsi que le Cercap pourra bonifier ce capital crédit en mobilisant des ressources financières auprès des partenaires nationaux et internationaux de développement et attirer les expertises nécessaires à la réalisation de ses activités.
Kadiatou OUATTARA
Rédaction Lessor
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