La 14è session du conseil d’administration du Bureau de restructuration et de mise à niveau des entreprises industrielles (BRMN), s’est tenue hier, à son siège. L’ouverture des travaux a été présidée par le président du conseil d’administration, Lanfia Camara. C’était en présence de son directeur général, Hamadoun Abba et plusieurs administrateurs.
Cette session était consacrée à l’examen et l’adoption du Procès verbal (PV) et de l’état de mise en œuvre des recommandations de la 13è session du conseil d’administration. Elle a également permis d’examiner et de valider le rapport d’activités et d’exécution du budget 2021, avant d’analyser le programme d’activités et de budget 2022.
Pour cette année, le budget du BRMN est équilibré en dépenses et en recettes à la somme de 317.712.000 de Fcfa, en hausse par rapport à 2021 évalué à 331.752.800 Fcfa. L’objectif de la session est de discuter et échanger sur les sujets relatifs aux activités du BRMN. Dont la mission est de promouvoir la compétitivité des entreprises à travers l’exécution des programmes de restructuration et de mise à niveau des entreprises industrielles.
D’entrée de jeu, le président du conseil d’administration a mis l’accent sur les crises multidimensionnelles notamment sanitaire et sécuritaire et leurs conséquences néfastes sur l’économie de notre pays. Lanfia Camara a indiqué que le programme de restructuration et de mise à niveau des entreprises «phase de relance 2017-2019», adopté le 7 septembre 2017, a été évalué au mois de juillet 2021. «Dans le cadre de la consolidation des acquis dudit programme, une nouvelle phase de Relance II (2022-2024) fut élaborée», a-t-il rappelé.
Cette phase, selon Lanfia Camara, vise à relancer le secteur industriel malien à travers l’amélioration de ses performances économiques, dont une contribution plus élevée à la croissance économique, aux exportations, à la promotion de l’investissement et à l’emploi. Le patron des administrateurs du BRMN a attiré l’attention de l’ensemble des acteurs et partenaires sur l’insuffisance des moyens nécessaires à l’amélioration de la compétitivité de nos entreprises.
«La tâche qui nous incombe, consiste à préconiser des orientations et à œuvrer dans le cadre de la recherche et de la mobilisation des ressources nécessaires à l’amélioration des performances économiques des entreprises industrielles», a expliqué Lanfia Camara. Il a invité les administrateurs à intercéder en faveur de l’institution pour diligenter la mobilisation des ressources nécessaires à la mise en œuvre de la phase II.
Fatoumata M. SIDIBÉ
Rédaction Lessor
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