La vie, ici bas, ne tient qu’à un fil, dit-on. Une autre assertion veut que toute mort soit pénible. Ces assertions corroborent la situation dramatique vécue par les populations d’un des secteurs de Niaréla en Commune II du District de Bamako.
Elle porte sur la mort subite d’un quinquagénaire des suites d’une crise cardiaque. Venu dans une maison close pour passer du bon moment en compagnie d’une fille de joie, celui que nous désignerons par S.T a malheureusement trouvé la mort. Ces faits viennent de se produire il y a quelques jours dans, le quartier populaire suscité.
S.T, le héros malheureux au centre de l’histoire, fait partie de cette catégorie d’hommes mariés qui, malgré leur situation matrimoniale, n’hésitent pas à squatter les établissements de loisirs qui pullulent un peu partout à Bamako et ses environs. Selon nos sources, il serait même polygame et père de plusieurs enfants.
Curieusement, cela n’avait rien arrangé à sa situation. Le bonhomme fréquentait assidûment ces lieux de loisirs. Pour lui, la moindre occasion était la bienvenue pour faire un tour à tel ou tel bon coin de la capitale. D’après nos sources, cette façon de vivre était quasiment devenue une routine chez ce monsieur, à tel point qu’il ne s’en cachait plus. Les choses sont allées ainsi jusqu’au jour où tout a dramatiquement basculé pour lui.
Le jour des faits, comme à ses habitudes, S.T s’était encore une fois de plus rendu dans un de ses endroits préférés, réputé pour être un centre de loisir permanent. Bien qu’il était un habitant de la rive opposée du fleuve qui sépare la Cité des Trois caïmans, cette distance n’entamait en rien sa détermination à passer du bon temps en galante compagnie. Avec le temps, il avait pu dénicher une bonne compagnie, avec qui il partageait ses moments les plus intimes dans une maison close. Et les choses sont allées vite.
Le malheur arrivant à un moment où l’on s’y attend le moins, notre homme a été victime d’un malaise dans la chambre. Il a été frappé par une attaque cardiaque. Et il n’y a pas survécu. Après avoir constaté que son partenaire ne bougeait plus, sa compagne a tenté de le faire revenir à lui. En vain.
Le malheureux avait rendu l’âme sur le champ. Ainsi, prise de panique, la jeune fille a préféré disparaître, oubliant d’alerter des secours ou au moins informer les tenanciers du lieu. Elle a fait le plus mauvais choix : abandonner le corps inerte de son client du jour. La dépouille du malheureux sera découverte quelques heures plus tard par le service de chambre venu nettoyer les lieux. Il a trouvé le monsieur dans une position inconfortable.
L’homme était couché à terre, inerte, sur le dos sans le moindre signe de vie. Le garçon de chambre a fini par alerter le tenancier des lieux qui, à son tour en informa la police dont relève le secteur. Un médecin légiste à qui il a été fait appel a confirmé que l’homme avait été victime d’un arrêt cardiaque, précédé d’un malaise subit.
Comme c’est généralement le cas dans le quartier, les rumeurs n’ont pas tardé à circuler. Chacun y allant de sa version des faits. Entre-temps, les parents du défunt ont été informés du décès tragique de leur chef de famille.
Tiédie DOUMBIA
Rédaction Lessor
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