Les femmes du ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration, à travers l’Amicale des femmes de l’Office de radio et télévision du Mali (ORTM), celles des femmes de l’Agence malienne de presse et de publicité (Amap) et des autres structures rattachées au ministère de la Communication ont fait parler leur génie dans la conception du menu de la conférence-débat qu’elles ont organisée dans le sillage de la Journée internationale de la femme, lundi dernier à l’ORTM, sous le thème : «Rôle et place de la femme dans la refondation du Mali».
La cérémonie a été présidée par la représentante du ministère de la Communication, Tiouta Traoré, en présence de l’historien Modibo Keïta, de la présidente de l’Association pour le progrès et la défense des droits des femmes (APDF) et marraine de l’évènement, Mme Diawara Bintou Coulibaly.
On notait aussi la présence massive des femmes des autres services de la tutelle. La présidente de l’APDF a expliqué que la femme est le socle de l’éducation. Pour Mme Diawara Bintou Coulibaly, l’éducation de base commence dans la famille tout comme la refondation d’un État. Une éducation familiale réussie peut se répercuter jusqu’au sommet de l’État. Pour elle, jamais l’adage qui dit que «vouloir, c’est pouvoir» n’a été autant vrai qu’avec la femme. «Quand les femmes veulent, elles peuvent, car ce sont elles qui conseillent leurs maris, frères et fils sur le droit chemin», a rappelé la marraine de l’évènement. Et de dire que la femme est le pilier de la famille, par conséquent joue un rôle important dans la refondation d’un État.
L’’historien Modibo Keïta a indiqué que les femmes du ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration sont dans leur rôle en tant que communicatrices et femmes tout court. Selon lui, la femme égale «donner naissance, refondation qui est aussi renaissance. Donc, il ne peut y avoir de renaissance sans la femme», a expliqué l’historien. Il a rappelé que toutes les affaires dans le Mandé ont été résolues par les femmes. Donc, il ne peut y avoir la refondation d’un État sans les femmes qui représentent aussi des actrices du changement.
La présidente de l’Amicale des femmes de l’ORTM, Mme Diarra Djenebou Keïta, a rappelé le rôle capital de la femme dans la famille et au niveau national. Pour elle, les femmes ont un rôle prépondérant dans la refondation de l’État et cette refondation vaut changement de comportements à tous les niveaux. Elle en a appelé les uns et les autres à prêcher par l’exemple, avant de réitérer l’accompagnement et le soutien des femmes à la tutelle dans le respect des questions du genre. Pour sa part, Tiouta Traoré a salué l’initiative des femmes du ministère de la Communication, de l’Économie numérique et de la Modernisation de l’Administration.
Amsatou Oumou TRAORE
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