Il est possible,
affirme-t-il, d’avoir accès aux données d’une personne en infectant son téléphone
ou à travers une communauté à laquelle elle participe.
Aujourd’hui, argumente
l’informaticien, un pirate peut être le propriétaire d’un téléphone à travers
les infections dudit appareil. Il précise que ces actions consistent à
installer des programmes sur un téléphone pour accéder à l’ensemble des
informations qu’on préfère. Cela peut se produire à travers des informations
annonçant que l’auteur de l’appareil a gagné à un jeu ou lors d’une mise à jour
d’une application.
«Ce sont des appâts, un type de virus qui suscite l’intérêt
d’un groupe d’individus», indique le président de l’Asim. Les fraudes
informatiques permettent d’accéder aux données personnelles de façon illégale.
Le président de l’Asim conseille aux
utilisateurs des réseaux sociaux d’utiliser des outils qui permettent de faire
des actions éphémères sur le téléphone, tel que le partage des données
visuelles, de façon éphémère ou des outils permettant de faire des usages
uniques. Dès que la personne utilise le fichier, il disparaît. «Nous sommes
dans un monde de plus en plus virtuel. Il faut faire extrêmement attention aux
données à caractère visuel que vous mettez sur les réseaux sociaux.
Leur partage peut vous
exposer plusieurs années plus tard», prévient Mohamed Diawara. Les réseaux
sociaux ont des exigences juridiques. Elles les obligent à garder les données. «Lorsque
vous souscrivez à un réseau social, il faut lire les conditions générales
d’utilisation et les paramètres de confidentialités. Souvent, ce sont des
contrats d’adhésion.
Vous pouvez décider dans les différents paramétrages que vos photos ne restent pas tel nombre de jours sur un réseau social», insiste le directeur général de l’entreprise General computech. Il conseille également d’éviter d’interférer entre les outils de travail. Il y a des outils comme Tiktok qui ne sont pas faits pour des usages familiaux, précise-t-il. Avant de conclure qu’il ne faut pas mettre en ligne, tout ce qu’on veut cacher.
Mohamed DIAWARA
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