Décédé de suite d’une courte maladie, Doussey est issu d’une famille paternelle humoriste. « Mes oncles et mes tantes sont tous comiques. Avec un simple regard, certains peuvent vous arracher un rire mortel », raconte-t-il il y a deux ans lors d'un passage sur une web TV.
Habité par l’héritage comique, le jeune Doussey décide de suivre les traces de son père Habib Dembélé, alias Guimba National. Très vite il tire profit de cet héritage et acquiert une certaine notoriété. Toutefois, Doussey a voulu garder une certaine autonomie pour s’effrayer sa voie dans le monde de l’humour. Autodidacte, Doussey monte sur la scène dans les années 2000. Sa carrière commence par des spectacles lors des soirées nocturnes des jeunes dénommées « balani show » et des événements scolaires.
Le public malien le connaîtra davantage sur la scène de Yèlèbougou, une rencontre hebdomadaire avec les humoristes. Sur cette scène, Seydou Dembélé, Souleymane Keïta alias Kanté et Petit Guimba N°1 distribuent des éclats de rire de façon simple. C’est là qu’il s’est distingué grâce à son rôle de danseuse indienne. Le jeune Dembélé a d’abord nourri une passion pour le football : « chaque quartier voulait m'avoir dans l'effectif de son équipe », a-t-il laissé entendre lors d’une émission TV.
Fort de cet engouement pour ses performances footballistiques au niveau local, il décide de tenter sa chance à Bamako, espérant faire une carrière sportive. Le Centre Salif Keïta l'accueille. Mais le succès escompté n’est pas au rendez-vous. L’école non plus ne lui sourit pas : « j'ai fait à maintes reprises l'examen du baccalauréat sans succès », révélait l’ancien élève du lycée la Lanterne de Sogoniko. Son décès à la fleur de l'âge a suscité une vague de compassion sur les réseaux sociaux.
Paix à son âme !
Mohamed DIAWARA
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