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Preuve qu’ils vivaient d’activités illégales. Chose qui obligea les limiers à diligenter leurs dossiers pour les envoyer chez les juges, afin qu’ils répondent rapidement de leurs actes. Selon nos sources, tout serait parti de la dénonciation d’une citoyenne qui fut, à un moment donné, une victime de la bande des six. Les policiers qui avaient eu échos de l’existence d’un réseau formé par six malfrats, ont fini par lancer une traque pour les mettre hors d’état de nuire. Afin que leur opération soit couronnée de succès,  les éléments de la brigade de recherches (BR) disposant déjà de bribes d’informations de leur pion, ont discrètement sollicité et obtenu la bonne collaboration des populations.
Ils ont exploité les informations fournies par leur pion et ont ensuite envahi le terrain. C’est ainsi qu’ils ont pu localiser les six malfrats dans différents endroits de la ville de Kéniéba, notamment à Ballabougou au flanc de la colline et à Tabakoto. Coincés de toute part, aucun des bandits n’aura la chance de s’échapper. Ils ont tous été interpellés sans pouvoir opposer la moindre  résistance.
Les minutes suivantes, ils ont été conduits dans les locaux des policiers pour une audition sommaire. En parallèle, une perquisition domiciliaire leur a permis de mettre la main sur 08 motos, 20 téléphones portables, 02 ordinateurs portables, une certaine quantité de stupéfiants (cailloux, haschich et tramadol). A cette prise, s’ajoutent des armes blanches, un trousseau de clé, et divers autres objets. Les six doivent comparaître incessamment pour les faits cités plus haut.
Tamba CAMARA
De par leur nature, certains individus ne se plaisent que lorsqu’ils constatent que leurs semblables traversent des moments de difficultés, quoi que éphémères..
Les éléments du commissariat de la Régie chemins de fer de Kayes avec à leur tête le commissaire principal Mohamed B. Koumaré, ont récemment mis hors d’état de nuire quatre individus qui s’apprêtaient à mettre sur le marché de la viande de bœuf impropre à la consommation..
«Il faut tout un village pour éduquer un enfant », dit une maxime bien connue chez nous. D’où toute l’importance de l’implication de toute la communauté dans l’éducation de l’enfant. à commencer par sa famille, le voisinage, le quartier, voire tout le village..
A seulement 25 ans, celui que nous désignerons par ses initiales S.D risque de passer plusieurs années derrière les barreaux, s’il est reconnu coupable du crime d’assassinat dont il est fortement suspecté..
Le commissariat de police de Sabalibougou a tout récemment mis le grappin sur une bande de malfrats spécialistes du vol et braquage à main armée. Au nombre de sept individus, ces malfrats qui ne juraient que par les engins à deux roues ont longtemps troublé la quiétude des populations de cert.
Les témoins de cet homicide volontaire garderont longtemps en mémoire ce jour où des malfrats ont abattu de sang-froid un jeune homme qui tentait de les arrêter après un vol spectaculaire. Cela s’est passé à Kalabancoro, quartier populaire à la périphérie de Bamako..
 
                                
                                 
 
                                         
 
                                         
 
                                         
 
                                         
 
                                         
 
                                        