
Selon les fossoyeurs qui donnent l’information, les faits se sont passés après que les parents, ayant perdu leur enfant à la naissance vers 14 heures, ont pris la décision d’enterrer le corps. Le bébé, enveloppé dans un linceul, avait été transporté au cimetière par les parents, sans que son sexe ne soit identifié, en raison de l’enveloppement du tissu.
C’est pendant que les fossoyeurs, s’apprêtaient à mettre les premières briques au-dessus de son corps que l’un d’entre eux a entendu des cris. Ce dernier a immédiatement alerté ses collègues. Après avoir ouvert le linceul et procédé à une vérification en pinçant le pied de l'enfant, ils ont eu la confirmation : le bébé était encore en vie.
Le nourrisson a alors émis un cri, avant de se mettre à pleurer. Les fossoyeurs, dans un geste rapide, ont sorti l'enfant de la tombe et l'ont remis entre les mains des parents, qui l'ont conduit d'urgence à l'hôpital de la Commune I. Le nourrisson, qui était initialement déclaré mort-né à l’hôpital, a ainsi échappé de peu à une fin tragique.
Ce sauvetage in extremis soulève des interrogations sur les pratiques médicales et les erreurs de diagnostic dans les situations de mort-né. Les parents, profondément choqués, ont remercié les fossoyeurs pour leur intervention rapide.
Un incident qui, malheureusement, met en lumière les failles dans la gestion de ces cas complexes et qui appelle à une vigilance accrue dans les établissements médicaux et funéraires.
Tamba CAMARA
Dans les foyers polygames, l’iniquité peut occasionner des frictions entre les épouses et aboutir à des divorces. Mais, il faut plus redouter une fracture familiale à travers une inimitié entre les enfants.
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Les policiers du commissariat de Sabalibougou ont récemment mis hors d’état de nuire cinq malfrats qui semaient la terreur au sein des populations du quartier populaire de Sabalibougou et ses environs. Ils ont tous des surnoms plus évocateurs les uns que les autres. Ils sont ainsi surnommés C.
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